Bo Gnéwé

Spectacle Bo Gnéwé
percussions africaines

Un spectacle multiethnique, véritable travail sur la modernité.

L'origine du spectacle Bo Gnéwé, son but, ses composantes

Un mélange culturel au travers d'un spectacle accessible à tous.

Trois tableaux, trois cultures : Congo, Sénégal, Mali-Guinée.

Des tambours : NGOMA, SABAR, TABALA, DJEMBE, DUNUMBA.

Des instruments mélodiques : le NGONI, la SANZA.

Une scénographie et des costumes : à partir de matériaux de récupération.

Un titre : Bo Gnéwé… Yangi Deg ! Si tu viens… tu vas comprendre ! en langue wolof du Sénégal.

Entendez par là, vous allez voir les liens qui se tissent entre ces gars là !

Bo Gnéwé, un spectacle de percussions dansées

Un spectacle musical chorégraphié.

Le concept de percussions dansées consiste à faire émerger la danse et la musicalité du mouvement. Du mouvement des percussionnistes et des tambours naît la danse.

Ce spectacle multiethnique met en jeu des artistes de différentes origines culturelles. C’est un travail de recherche et de composition avec la voix et les onomatopées rythmiques d’où émergent des chorégraphies et des compositions originales.

Création : Jean-Marie Mallet

Production : la Compagnie Awama.

Soutenu à la diffusion par l’ODIA Normandie.

Laissez-vous transporter par des tambours qui dansent

Une ambiance retranscrite à la perfection.

Extraits d'articles de presse :

« Laissez-vous envahir par l’ambiance survoltée des percussionnistes bondissants et les tambours étourdissants. Un spectacle humain, chaleureux, qui rend fier d’être un passager de cette planète Terre. C’est une humanité telle qu’on en rêve qui se dégage de ce spectacle...»

« Un spectacle qui parle d’identité, de métissage et d’héritage, où les hommes partagent leurs savoirs et leurs particularités. Des histoires de cultures, d’attirances et de répulsions, de différences et de rencontres. »

« À entendre et à voir, ces artistes d’exception, issus pour certains du Ballet National du Congo, pour d’autres des Tambours de Brazza et de la troupe de Doudou N’Daye Rose…, on comprend. »