Le spectateur est invité à entrer dans le royaume de l’enfance de Léopold Sédar SENGHOR, à suivre le parcours initiatique du poète président et à découvrir son chemin de vie. Tout doucement, subtilement, nous sommes conviés, invités à laisser entrer en nous la poésie. Elle est là dans la magie du mouvement.
Un être, ni noir, ni blanc, se mue de son histoire métissée. C’est un passeur.
Il crée une passerelle entre l’Afrique et nous. Il ouvre nos esprits.
Toutes voiles dehors, dans cette longue attente, nous glissons enfin dans la poésie qui danse…Tout est Senghor, le rythme, l’espace et le temps… L’ombre et la lumière.
Moi, je suis « l’homme de la danse », je suis le « maître de langue », je dis bien je suis « Dyali », je suis « diseur des choses très cachées »….